35 logements sociaux

Zac du Chêne Saint-Fiacre (Chanteloup-En-Brie, 77)

 Maîtrise d’ouvrage Immobilière 3F
Maîtrise d’œuvre Belus & Hénocq Architectes- Charles Dard, paysagiste – Mission de base
Programme 25 logements sociaux intermédiaires et 10 maisons individuelles
Surface 2954  m² Shon – Coût 4.65 M€ – Calendrier livrée en 2012
Label / Performances Label THPE 2005, H et E profil A conception bioclimatique, recherche de compacité optimum, optimisation des apports passifs, ECS, imperméabilisation des sols limitée et récupération des eaux de pluies Crédits images © Belus & Hénocq

Partant du constat que toute la surface de la zac allait être lotie sans espace vert de proximité, il nous est apparu pertinent de proposer au centre du terrain un jardin public non prévu dans la programme initial. Dès lors, nous avons cherché la plus grande compacité possible. Les logements s’articulent autour de cours communes permettant l’accès aux logements et abritant les stationnements.

Les maisons individuelles sont regroupées en lanières sur la bande de terrain située au nord de l’Allée du Pré Mallard. Alternant maisons jumelées et abris de stationnement, elles forment un front bâti continu en cohérence avec les opérations voisines.

Pour les logements intermédiaires, l’imbrication est plus complexe. La superposition d’appartement duplex (2 et 3 pièces) permet la constitution de maisons à l’échelle des maisons 5 et 6 pièces en vente sur les terrains voisin. Regroupées par deux, ces « grandes maisons » sont desservies par une cour commune accueillant les stationnements et les divers locaux collectifs. Il en résulte une grande économie de moyen et de surface propice à l’aménagement et au financement du jardin central.

Tous les logements sont à minimum traversants de manière à profiter des meilleures orientations possibles. L’intimité de chacun est préservée par une attention particulière portée sur la limitation des vis à vis.

Pour les espaces extérieurs, des solutions dite d’assainissement vertueux ont été mises en oeuvre limitant l’impact des réseaux enterrés sur le coûts global de l’opération.

Ainsi optimisé, le projet s’inscrit dans les objectifs environnementaux de son époque dépassant même les objectifs premiers de la maîtrise d’ouvrage.